Portrait de cyclistes: Aude

Voici le deuxième portrait de cyclistes consacré à Aude après celui de Gilbert.

Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Aude, je suis belge d’origine et cela fait 4 ans que je vis à Narbonne. Je suis kinésiologue et je travaille également dans une association qui accompagne d’autres associations.

Raconte-nous ton histoire de cycliste

Le vélo que j’utilise aujourd’hui est celui que j’ai reçu en cadeau à l’âge de 16 ans, il a donc aujourd’hui plus de 20 ans ! Heureusement que j’ai Vélocité pour m’aider à l’entretenir !

Parle nous de ton ou tes vélos !

Enfant, nous prenions nos vélos avec mes parents pour aller nous promener à la mer et pour des balades familiales. Mais il y a eu une période « sans » et mon vélo est resté longtemps dans une cave. J’ai redécouvert le plaisir du vélo lorsque j’ai vécu à Lyon, avant d’arriver à Narbonne. Il est vrai que Lyon est une ville complétement adaptée à l’utilisation du vélo, avec des pistes cyclables qui me permettaient de me déplacer en toute sécurité. C’est d’ailleurs une des premières villes à avoir proposé des vélos en libre-service.

Mon vélo est mon moyen de locomotion principal, je ne possède pas de voiture. Je l’utilise donc pour faire mes courses, pour aller travailler et pour certaines de mes activités. Je me suis arrangée pour travailler et loger proche du centre de la ville, donc j’arrive à circuler sur des voies pas trop fréquentées par les automobilistes ou sur des pistes cyclables.

Qu’est-ce que tu aimes à vélo à Narbonne et dans la Narbonnaise ?

J’aime le plat !!! j’apprécie donc de faire du vélo à Narbonne sur du plat ! J’aime l’utilisation du vélo, vous l’avez compris, au quotidien et aussi pour faire des balades comme le long du canal de la Robine ou du canal du Midi.

Qu’est-ce que tu n’aimes pas à vélo à Narbonne et dans la Narbonnaise ?

J’évite de m’aventurer en dehors du centre, au-delà de l’Espace Liberté ainsi que toute la zone ZI Plaisance et Croix-Sud par exemple, car les rues sont mal éclairées et/ou les pistes cyclables sont inexistantes. Cela m’insécurise, malgré les lampes de mon véhicule à deux roues et le port de mon gilet fluorescent !

Un dernier mot ?

J’apprécie l’initiative du Bik’Air. J’ai vu des personnes utiliser ces vélos en libre-service, et j’espère que cela donnera une impulsion dans une utilisation plus importante du vélo à Narbonne. Mais je trouve ce service trop onéreux et trop long à mettre en service (téléchargement de l’application).

Si toi aussi, tu souhaites avoir ton portait sur notre site, tu peux envoyer un mail à carmen@velocite-narbonne.fr